baroque -1-
Le regard morne mais la peau dorée, la fille en robe blanche marche d’un pas léger alors que son âme ne fait que s’alourdir…
Elle voudrait tomber de très haut, une volonté de tout lâcher, de se laisser aller, de s’évanouir.
Une chute finale très brutale ou simplement un peu romanesque.
Mais qui viendra la secourir ?
Qui sera la pour l’attraper après le saut ?
Et elle se demande pourquoi elle abrite encore et malgré tout ce désir faible et plein d’espoir, d’être ramasser, secourue, puisqu’elle a voulue ce saut fatal ?
Il devrait être logique qu’elle n’ait plus d’espoir.
Aucun espoir.
Pourquoi pense t elle encore a lui comme un héro, comme le prince charmant des contes de fées qui viendra la sauver ?
Pourquoi pense t elle encore ainsi a lui puisqu’elle sait qu’il ne l’aime plus ?
Et le vend brise délicatement les plis de sa robe, découvrant ses jambes bronzées.
Elle marche.
Elle avance avec peine et chaque mouvement lui coûte un effort physique et mental a la limite de ses capacités. Ses sens d’une acuité accrue sont un fardeau, elle perçoit le moindre mouvement, le vent qui caresse ses cheveux, la chaleur qui s’imprime brusquement sur sa peau et la température qui augmente avec insistance, chaque goûte de sueur qui coule sur ses pores et chaque pression de ses pieds sur le sol.
Lasse mais consciente et éveillée, son chemin lui semble long ; cette longue promenade forcée ne ressemble que trop a la marche du coupable vers son bourreau.
Elle voudrait tomber de très haut, une volonté de tout lâcher, de se laisser aller, de s’évanouir.
Une chute finale très brutale ou simplement un peu romanesque.
Mais qui viendra la secourir ?
Qui sera la pour l’attraper après le saut ?
Et elle se demande pourquoi elle abrite encore et malgré tout ce désir faible et plein d’espoir, d’être ramasser, secourue, puisqu’elle a voulue ce saut fatal ?
Il devrait être logique qu’elle n’ait plus d’espoir.
Aucun espoir.
Pourquoi pense t elle encore a lui comme un héro, comme le prince charmant des contes de fées qui viendra la sauver ?
Pourquoi pense t elle encore ainsi a lui puisqu’elle sait qu’il ne l’aime plus ?
Et le vend brise délicatement les plis de sa robe, découvrant ses jambes bronzées.
Elle marche.
Elle avance avec peine et chaque mouvement lui coûte un effort physique et mental a la limite de ses capacités. Ses sens d’une acuité accrue sont un fardeau, elle perçoit le moindre mouvement, le vent qui caresse ses cheveux, la chaleur qui s’imprime brusquement sur sa peau et la température qui augmente avec insistance, chaque goûte de sueur qui coule sur ses pores et chaque pression de ses pieds sur le sol.
Lasse mais consciente et éveillée, son chemin lui semble long ; cette longue promenade forcée ne ressemble que trop a la marche du coupable vers son bourreau.
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bisou